Descriptif:
Quand ça sent fort le mâle! - Nouvelles érotiques gays bien sales
Ce livre pour grands garçons bien cochons démarre avec deux nouvelles fantastiques dans un univers inspiré des comics:
Testostérone: Le docteur Sirus travaille sur l'élaboration de produits destinés au dopage des sportifs. Son objectif: augmenter à la fois la force physique et la rage de vaincre (le reste n'était pas prévu...). Une nouvelle fantastique dans un univers inspiré des comics.
Seul le vainqueur fécondera: Dans un futur où il naît de moins en moins de filles, le duel revient à la mode chez les jeunes mâles. Et sodomiser le perdant permet au vainqueur d'asseoir sa supériorité !
Ensuite une épopée en neuf épisodes avec des personnages fantasmatiques et solidement campés:
Apprenti: Nathan adore le goût du pain frais. Tom, son boulanger, lui fera aimer celui de l'humiliation. Au fil du temps, il deviendra la marionnette de mecs qui l'utiliseront pour jouir. Une épopée en neuf épisodes avec des personnages fantasmatiques et attachants.
Enfin, si vous kiffez les histoires de cocus et les rebeus dominateurs et sûrs d'eux:
Ahmed et ma copine: Nathan rencontre Ahmed, le nouveau voisin. Celui-ci le complimente: "avec ta copine, vous formez un beau couple". Une nouvelle candauliste à la gloire du trouple et des rebeus dominateurs. Trois ans plus tard, Ahmed revient avec ce qu'il faut pour formater Nathan a être une vraie kehba.
Un extrait d'Apprenti:
"Maintenant, ce que je vais te dire va se graver en toi. Ce que tu aimes le plus au monde, c'est le sperme: cette semence blanche et visqueuse qui représente la capacité du mâle à féconder. Tu aimes en avoir sur toi, tu aimes l'avaler, tu aimes en avoir au fond de ton cul.
Ton objectif, dès que tu vois un mec, n'importe quel mec, c'est de lui offrir la possibilité de tirer son coup, de prendre le plaisir auquel il a le droit en tant que mâle. Peu importe qu'il soit jeune ou vieux, beau ou moche, propre ou sale, pour toi, seul compte le fait qu'il a un pénis qui peut potentiellement éjaculer du sperme. Tu ne l'embêtes pas s'il veut être tranquille, mais, dans le doute, tu cherches à l'exciter. S'il est réceptif, alors, tu fais tout pour lui donner envie de te sauter. N'hésite pas à prendre les devants, à guider sa main vers tes fesses, les hommes aiment caresser un cul. À partir de là, ton regard ne peut se détacher de l'endroit où se trouve sa bite. Tu veux savoir si son pénis commence à prendre du volume. S'il le gêne dans son slip, tu deviens fou de désir. Tu veux voir ce pénis, tu l'admires, c'est le plus beau membre du monde. Le mec doit voir ton admiration et ton désir. Alors tout ton corps se prépare pour donner du plaisir à cette queue. Le mec ne doit avoir qu'à avancer son zob et le rentrer. Quand sa bite est au chaud, le mec te baise, le réflexe du mâle, tu es juste un trou pour lui, un trou chaud qu'il utilise pour jouir. Toi tu veux son sperme. Tu veux avaler son sperme, tu veux sa semence dans ton cul. S'il te baise la gueule, tu ajustes la position de ta langue, tu lui facilites l'accès au fond de ta gorge. S'il t'encule, tu cambres mieux les fesses et tu couines de plaisir. Quand vient la fécondation, tu jouis par le seul fait d'avoir permis à un mâle de se libérer de la semence que ses couilles produisent en abondance.
Certains ne peuvent supporter la misère et consacrent leur vie à lutter contre la faim dans le monde, toi, tu ne peux supporter que des mecs aient besoin de se vider les couilles et ne puissent le faire dans de bonnes conditions. Quand je vais claquer des doigts, tu vas te réveiller, mes paroles agiront sur toi sans que tu te rappelles les avoir entendues. Ensuite, seul le coucou d'une horloge te rendra ton libre-arbitre."
Auteur: Psyl
A propos du livre: "Nouvelles érotiques gays déviantes, fétichistes, hards, SM... J'écris ce qui me fait bander et c'est bien sale! Si t'es un porc aussi ça va t'exciter pareil ! Gros kiffs: mecs virils velus et musqués, mâles alphas dominateurs et clébards obéissants, dilatation anale, hypnose et... la bite, le sperme, la pisse, les mollards dans la gueule et aussi, parfois, juste deux hommes qui s'aiment..."
